Le meilleur moyen de sauver son couple, c’est de se dire qu’on pourrait le perdre.
La mésentente, les disputes, le cercle infernal des reproches mettent à mal la solidité d’un couple. Cela peut mettre en péril tout ce que vous avez construit ensemble.
Lorsque les disputes surviennent plus souvent que les marques d’affection et d’attention, on se sent parfois impuissant. On a l’impression d’être dans l’impasse pour maintenir notre couple en vie. On finit parfois par manquer de confiance dans notre propre capacité à « être en couple » et dans l’avenir de celui-ci.
Un couple, c’est comme un bel édifice, une fois la phase de construction terminée, il faut apprendre à l’entretenir et à le protéger contre l’érosion.
Vous pouvez interrompre ce cycle et surmonter les obstacles ensemble pour retrouver un climat apaisé, où vos relations sont à nouveau attentives et attentionnées, où les échanges sont complices et constructifs pour un couple solide.
« Je m’aime et je m’accepte comme je suis. » C’est à cette condition que je trouve le bonheur dans l’amour que je donne à l’autre et que je reçois.
La dépendance affective est une souffrance liée à la peur constante de perdre l’autre. La peur de ne plus pouvoir vivre (oui, littéralement) sans l’autre.
Cette angoisse s’accompagne d’émotions très douloureuses comme la jalousie, la possessivité, l’anxiété dès que l’autre est loin (ne serait-ce qu’une heure), le manque de confiance dans l’autre, l’isolement parce qu’on ne vit plus que pour l’autre en oubliant tout le reste.
Puis, lorsqu’une relation se termine et qu’une autre commence, les mêmes émotions réapparaissent, les mêmes appréhensions, doutes, angoisses et dévalorisation de soi.
La dépendance affective prend souvent sa source dans notre histoire familiale. L’hypnose peut aider à transformer cette souffrance pour être enfin libre de vivre un amour complice et serein, un amour qui fait du bien à l’âme.
Mettre fin à une relation lorsqu’on a tout essayé n’est pas une décision facile à prendre.
Pour certain(e)s, elle est immédiate, franche et sonne comme une délivrance pour les deux. Pour la grande majorité d’entre nous, elle peut prendre des mois, parfois des années à faire son chemin, douloureusement d’autant plus si on la subit et qu’elle nous entraîne vers l’inconnu.
Mais une fois la décision prise, que ce soit d’un commun accord ou contre notre gré, on est quand même amené(e)s à passer par les montagnes russes des émotions : la colère, la tristesse, la peur, la rancœur, les regrets aussi et parfois même le désir de vengeance et le sentiment d’échec.
Pourtant, la séparation une fois actée, peut être vécue dans les meilleures conditions. Il est possible de se quitter sans animosité, en gardant l’un pour l’autre un respect mutuel, ne serait-ce que pour être en paix avec soi-même mais aussi pour préserver ses enfants et/ou ce qui reste de ce qu’on a construit ensemble ?
Se séparer, c’est aussi se retrouver soi, retrouver l’envie et l’espoir d’un avenir serein, apaisé, confiant et heureux… sans l’autre.
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